sortie animalière
Mardi soir direction Bagnols malgré le fort mistral,armé de courage et de mon MP3 (celui de Cécile en fait)
Après simplement 10 mi,utes de course, un superbe lièvre sort d'un fourré et je peux suivre sa course rapide sur une bonne cinquantaine de mètres. (je sais maintenant ce que veut dire détaler comme un lièvre !!)
Après avoir accéder aux ruines du camp de César par deux fois, je surprend un lapin qui ne m'a pas entendu arriver avec le bruit du vent.
Je prends la descente de la combe de Roubeau et là, c'est un écureuil que je dérange.
Mais la plus surprenante des rencontre se fera au début de la descente de la combe d'enfer.
Ceux qui connaissent, savent que le début est exposer plein vent, donc je ne m'attarde pas. Après 20 mètres de descente où il vaut mieux assurer ses pas, je vois remonter en sens inverse un petit marcassin.
J'élève la voix, mais en fait il n'est pas seul... en fait pas seul du tout.
Je suis entouré d'une bonne dizaine de sangliers.
J'aperçois un chêne vert penché sur le bord gauche du monotrace (vous pourrez vérifier et penser à moi) et je grimpe dessus car à moins de deux mètres un sanglier passe puis les fourets bougent dans tous les sens. Certains montent, d'autres descendent, des petits, des plus gros.....
En moins de 30 secondes tous ont disparu et je suis toujours sur mon arbre.
Je préfère remonter et finir par la citerne.
Au total pas mal d'émotions et une sortie de 20 km en plein vent
Après simplement 10 mi,utes de course, un superbe lièvre sort d'un fourré et je peux suivre sa course rapide sur une bonne cinquantaine de mètres. (je sais maintenant ce que veut dire détaler comme un lièvre !!)
Après avoir accéder aux ruines du camp de César par deux fois, je surprend un lapin qui ne m'a pas entendu arriver avec le bruit du vent.
Je prends la descente de la combe de Roubeau et là, c'est un écureuil que je dérange.
Mais la plus surprenante des rencontre se fera au début de la descente de la combe d'enfer.
Ceux qui connaissent, savent que le début est exposer plein vent, donc je ne m'attarde pas. Après 20 mètres de descente où il vaut mieux assurer ses pas, je vois remonter en sens inverse un petit marcassin.
J'élève la voix, mais en fait il n'est pas seul... en fait pas seul du tout.
Je suis entouré d'une bonne dizaine de sangliers.
J'aperçois un chêne vert penché sur le bord gauche du monotrace (vous pourrez vérifier et penser à moi) et je grimpe dessus car à moins de deux mètres un sanglier passe puis les fourets bougent dans tous les sens. Certains montent, d'autres descendent, des petits, des plus gros.....
En moins de 30 secondes tous ont disparu et je suis toujours sur mon arbre.
Je préfère remonter et finir par la citerne.
Au total pas mal d'émotions et une sortie de 20 km en plein vent